dimanche 2 janvier 2011

Niteroï


Toujours dans l'idée de la curiosité face à la journée nouvelle et à tout ce qui peut arriver d'inattendu, et bien aujourd'hui je ne sais que dire...
Nous nous sommes retrouvés hier soir dans un restau français à Santa Térésa,
très beau, mais vraiment !
Une ancienne villa coloniale au milieu d'un jardin tropical.
Très bon... Très cher, mais vraiment.
Et un peu confis dans "le très beau pour des gens très riches".
Didier est un vieux sage qui a aussitôt transformé le tout en un magnifique réveillon du jour de l'an qui n'avait pas vraiment eu lieu dans les débordements habituels...

Bref, aujourd'hui visite à Niteroï, petite ville en face de Rio, abritant le musée construit par Niemeyer.
Une merveille ce musée.
Pas ce qu'il y a dedans.
Mais vraiment... tant pis.
De toutes façons, on nous avait prévenus...
Rencontré sur le bateau pour Niteroï un brésilien très speed et très gentil de São Paolo.
Pris le taxi ensemble jusqu'au musée.
Pour aller plus vite (il a dit le brésilien speedou. Il avait raison.)
"Alors ? Vous ne rentrez pas dans le musée ?" il ajouté notre amigo brasileiro.
Non, nous on avait envie de traînasser, prendre son temps.
Alors on l'a pris. Le temps.
En entrant dans le musée, il repartait lui, le paulisto.
Après s'être auto-photographié devant le musée et avoir téléphoné à un ami qui lui a donné l'adresse des supermarchés du déguisement de carnaval à Rio (on va aller faire une razzia).
Merci brasileiro ! Ciao.
Pouf il est déjà parti.
Trainaillé à Niteroï.
Dimanche, raide mort le quartier.
Repris le bateau.
Direction restau au kilo à Copacabana.
Top.
Calme, sympathique, bon, pas cher.
Marché hyppie puis.
Marché, marché, marché sous la pluie.
Gilson Martins : des sacs, des pochettes, des porte-monnaies de toutes les couleurs, avec dessus le pão de açucar, le Corcovado, le bonde (tramway en bois carioca),
ils vont me rendre dingue.
Mais pas vraiment.
Parce que les prix ont encore augmenté, les chiens galeux.
Je n'en ramènerai pas quinze cette fois-ci, c'est sûr.
Infelizmente.
Suco de frutas.
Orelhão : téléphone public pour essayer de joindre Sandra, notre amie comédienne avec qui on devait manger ce soir.
Prout.
Impossible de se joindre.
Raté la soirée avec elle.
Il pleut.
On en a plein les pernas (gambettes portugaises).
Ma bière va réchauffer.
Ciao !

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