Le soir même du concert, on ne sait pas s'il viendra.
Il en a annulé d'autres.
La chimio, ça tue.
Pour nous, à Marseille, il était là.
Un grand de la trempe d'un Gainsbourg ou d'un Nougaro.
Ils sont morts ces deux-là.
Alors, il ne reste plus que lui.
On l'écoute, la gorge serrée.
Quatre musiciens et lui.
Pas d'effets spéciaux.
Pas de mise en scène incroyable.
Juste la musique et le coeur rempli d'émotion.
mardi 28 octobre 2008
Bashung à la Fiesta des Suds
Publié par OlipO à 16:08
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